20℅ des Français utilisaient le service de livraison à domicile pour leur repas avant le covid19. Ce chiffre augmente en Angleterre et atteint les 35℅. Ce concept est beaucoup plus en vogue dans les pays Nordiques où 50℅ de la population y ont maintenant recourt. Avec les périodes de confinement, la statistique s'accroît concernant la livraison des repas à domicile. Comment ce concept intervient pendant le coronavirus? Quels sont ses bienfaits et ses méfaits? Est-ce l'unique moyen pour le monde de l'hôtellerie et de la restauration pour affronter la pandémie?
Un changement de procédure dans le contexte de covid19
Selon les directives de l'organisation mondiale de la santé, chaque entreprise devrait suivre plusieurs directives face à la pandémie de coronavirus. Le système de distanciation est l'une des normes exigées dans tous les secteurs d'activité, notamment celui du café, hôtellerie et restaurant. Ainsi, les membres du personnels et la clientèle doivent respecter la distance requise des gestes barrière. Il est primordiale de maintenir plus d'espaces entre chaque table. Au cas où on ne dispose pas assez de place, il est préférable d'opter pour le système de séparateurs de table. Force est de constater que les clients sont obligés d'ôter leur masque pendant le repas. Ils peuvent de cette façon propager le virus sans le savoir. D'où l'utilité de la distanciation et des séparations de table qui leur permettent de se protéger tout en protégeant les autres.
Une nouvelle approche dans le monde de la restauration
Puisque le commerce alimentaire fait partie des services essentielles, les restaurateurs ont l'obligation de trouver d'autres moyens d'agir face au covid19. L'une des options consiste à la livraison des repas. Il s'agit d'une méthode qui permet de ravitailler les clients sans que ces derniers viennent dans les locaux. Il est aussi nécessaire de mettre en œuvre plusieurs organisations concernant l'hygiène et la sécurité pour assurer un bon fonctionnement de ce système dans les établissements CHR. Dans ce sens, chaque livraison doit absolument se faire sans le moindre contact entre les deux parties. On peut aussi mettre en place un endroit destiné à la récupération des repas dans certains cas. À ce propos lisez notre article comparatif entre Uber Eats et Deliveroo.
Une méthode intéressante avec plusieurs facettes
Certes la livraison à domicile s'avère être nécessaire en période de confinement. Elle permet aux différents restaurateurs de garder la tête hors de l'eau. Les clients peuvent aussi s'offrir les plats de leur choix, malgré la fermeture des fast-foods et brasserie. Toutefois, elle entraîne plusieurs dépenses lors de l'organisation et la mise en place du système. Que l'établissement engage des livreurs ou qu'il recourt à un plateforme spécifique, cette méthode s'avère toujours être coûteuse. Or, il ne peut pas augmenter ses prix pour ne pas perdre face à la concurrence. D'autant plus que la livraison à domicile perdra ses attraits sitôt que la crise sera dépassée.
Choisir un concept beaucoup plus pérenne : les séparateur de table
La livraison à domicile est peut-être une solution face aux problèmes des restaurateurs par rapport à la pandémie. Mais ils peuvent aussi choisir une autre option. Dans le cadre d'un confinement partiel, les établissements peuvent recevoir des clients pendant une période restreinte. Il est alors plus convenable d'opter pour les panneaux de séparation. De cette manière, une paroi de séparation maintient les clients éloignés les uns des autres, dans un environnement sécuritaire sain pour tous.
Une entreprise s'est particulièrement démarquée des autres à ce sujet, il s'agit d'OCALM qui propose une large gamme de séparateur de tables pour restaurant sur son site ocalmfrance.fr
Cette solution permet aux restaurateurs de maintenir un accueil des clients digne de ce nom, tout en respectant les distances sociales imposées par les nouveaux décrets. Le panneau de séparation permet de déroger à la règle des un mètre de distance car il empêche tout contact physique ainsi que les projections de postillons par exemple (car on ne porte pas le masque en mangeant).